Il était temps de combler ce manque, temps de colmater le vide de cette déserte pensée qui m’obsédait depuis 2005.
Lorsque l’esprit s’invente des rêves, il doit les affronter. Je pense à ce vieux chêne depuis si longtemps. Je me devais de lui rendre hommage à son image, à sa grandeur et pour son respect.
J’ai cessé de croire que d’autres pourraient me soutenir dans mon ambitieuse aventure. Seul mon compagnon de route m’a apporté l’énergie pour m’engager vers mes souhaits. Confiante alors, j’explore le souvenir et je distille son nectar.
Savourez, pour cet instant, l’ébauche d’un rêve et vous serez surpris ensuite par tant de réalité…