Cette représentation est liée à l’échange avec les potières de Sejnane, Tunisie. Une création démunie d’ornements, à la recherche de l’attitude définissant la femme vaillante et volontaire.
Conçue comme le samouraï chevalet, la geisha vient former un duo. Deux personnage que l’on peut disposer de part et d’autre d’une ouverture ou dans des angles.
Une note musicale, à la saveur de chants d’espoirs et de joies. Un groupe imprégné de la bi-mesure entre rythme et silence, entre ivresse et complaintes.
Il me semble que ce cher Dionysos avait un savoir-vivre. Je l’imagine bien se délecter du doux nectar absolument par réservé aux dieu, à savoir le vin.